La Mystérieuse Rencontre de Maurice Masse à Valensole
Le premier Juillet 1965, sur le plateau de Valensole, Basses Alpes, dans le Sud de la France, Maurice Masse, 41 ans, cultivateur, quitte son domicile à 5 heures du matin pour aller travailler dans son champ de lavande situé à deux kilomètres de là. Quotidiennement, il distille la lavande pour l'industrie des parfums. Mais depuis une semaine environ, il constate d'étranges dégradations : << comme si quelqu'un, chaque nuit, venait prendre des échantillons de lavandins >>.
Avant de se mettre au travail, il allume une cigarette à l'ombre d'un petit monticule de pierres quand, soudain, son attention est attirée par un sifflement très inhabituel. Il pense d'abord avoir affaire à l'un des hélicoptères militaires qui atterrissent parfois ici au cours de leurs exercices. Mais en contournant le monticule de pierres, il découvre, à environ 100 mètres de distance, une << machine >> qui n'a rien d'un hélicoptère, ni d'un aéronef d'aucune sorte qu'il connaît. L'engin a la forme d'un ballon de rugby avec une coupole en dessus. Sa taille est celle d'une automobile type << Dauphine >> et il repose sur six pattes très fines, avec, au milieu, un support central qui ressemble à un tuyau de poêle.
En marchant à un endroit planté de vignes, Maurice Masse distingua deux << petits êtres >> hauts comme des enfants de huit ans qui semblaient occupés à inspecter les plants de lavande. De type humain et non humanoïde, ils portent des genres de combinaisons style salopettes, mais leurs mains et leurs têtes sont complètement nues. Leurs têtes ont trois fois la taille normale, en forme de citrouille, leurs mâchoires sont très prononcées, leurs yeux en obliques sont taillés en amande, leur bouche ne présente pas de lèvres, leur monton très petit et leur peau blanche. Ils semblaient communiquer avec de petits grognements.
Maurice Masse, maintenant près d'eux, arrive à discerner, une boite et un objet cylindrique accrochés à leur ceinture. En se voyant le cultivateur, les intrus se saisissent de leur objet métallique ressemblant à un gros crayon et lui envoient un rayon qui le rent incapable d'avancer plus loin.
Ensuite, les deux êtres, avec une surprenante agilité, réintègrent leur véhicule par une porte glissante. La << machine >>, fait entendre un nouveau sifflement s'élève de quelques mètres, ses six pattes visibles comme un insecte et disparaît à une vitesse incroyable en direction de l'ouest suivant une trajectoire inclinée de 45 degrés.
Le témoin reste immobilisé pendant plus d'un quart d'heure. Ayant enfin recouvré sa mobilité, il se rend au point d'atterrissage et constate au sol des traces de la partie basse de l'engin, au centre un trou cylindrique de 30 centimètres de profondeur et 15 centimètres de diamètre et quatre empreintes éloignées de 2 mètres en forme de croix, les deux autres pieds n'ayant visiblement pas touché le sol. Autour du trou central, le sol semble pétrifié, comme du ciment, sur 8 mètres de diamètre. Les traces dans la lavande, sont parfaitement visibles sur sur une centaine de mètres le long de la trajectoire de l'engin volant, parti en direction de l'ouest.
Après s'être confié au propriétaire du Café des Sports, Maurice Masse racontera toute son histoire au commandant de gendarmerie de Valensole.
L'incroyable cas de Valensole a fait l'objet d'une enquête du GEPA ( Groupement de Phénomènes Aériens ). Une analyse de sol ne révéla rien d'anormal mais dès après l'évènement, les plants de lavande autour du point d'impact commencèrent à dépérir, comme ayant subi une dessiccation.
Quatre jours après l'incident, Maurice Masse s'effondra, complètement vidé de son énergie et saisi par une irrésistible envie de dormir. Selon ses proches, il dormait 12 à 15 heures par jour, et ils durent le réveiller pour le faire manger.
Maurice Masse ne revint jamais sur son témoignage, il est décédé durant l'année 2004 convaincu d'avoir été confronté à l'inconnu.
Avant de se mettre au travail, il allume une cigarette à l'ombre d'un petit monticule de pierres quand, soudain, son attention est attirée par un sifflement très inhabituel. Il pense d'abord avoir affaire à l'un des hélicoptères militaires qui atterrissent parfois ici au cours de leurs exercices. Mais en contournant le monticule de pierres, il découvre, à environ 100 mètres de distance, une << machine >> qui n'a rien d'un hélicoptère, ni d'un aéronef d'aucune sorte qu'il connaît. L'engin a la forme d'un ballon de rugby avec une coupole en dessus. Sa taille est celle d'une automobile type << Dauphine >> et il repose sur six pattes très fines, avec, au milieu, un support central qui ressemble à un tuyau de poêle.
En marchant à un endroit planté de vignes, Maurice Masse distingua deux << petits êtres >> hauts comme des enfants de huit ans qui semblaient occupés à inspecter les plants de lavande. De type humain et non humanoïde, ils portent des genres de combinaisons style salopettes, mais leurs mains et leurs têtes sont complètement nues. Leurs têtes ont trois fois la taille normale, en forme de citrouille, leurs mâchoires sont très prononcées, leurs yeux en obliques sont taillés en amande, leur bouche ne présente pas de lèvres, leur monton très petit et leur peau blanche. Ils semblaient communiquer avec de petits grognements.
Maurice Masse, maintenant près d'eux, arrive à discerner, une boite et un objet cylindrique accrochés à leur ceinture. En se voyant le cultivateur, les intrus se saisissent de leur objet métallique ressemblant à un gros crayon et lui envoient un rayon qui le rent incapable d'avancer plus loin.
Ensuite, les deux êtres, avec une surprenante agilité, réintègrent leur véhicule par une porte glissante. La << machine >>, fait entendre un nouveau sifflement s'élève de quelques mètres, ses six pattes visibles comme un insecte et disparaît à une vitesse incroyable en direction de l'ouest suivant une trajectoire inclinée de 45 degrés.
Le témoin reste immobilisé pendant plus d'un quart d'heure. Ayant enfin recouvré sa mobilité, il se rend au point d'atterrissage et constate au sol des traces de la partie basse de l'engin, au centre un trou cylindrique de 30 centimètres de profondeur et 15 centimètres de diamètre et quatre empreintes éloignées de 2 mètres en forme de croix, les deux autres pieds n'ayant visiblement pas touché le sol. Autour du trou central, le sol semble pétrifié, comme du ciment, sur 8 mètres de diamètre. Les traces dans la lavande, sont parfaitement visibles sur sur une centaine de mètres le long de la trajectoire de l'engin volant, parti en direction de l'ouest.
Après s'être confié au propriétaire du Café des Sports, Maurice Masse racontera toute son histoire au commandant de gendarmerie de Valensole.
L'incroyable cas de Valensole a fait l'objet d'une enquête du GEPA ( Groupement de Phénomènes Aériens ). Une analyse de sol ne révéla rien d'anormal mais dès après l'évènement, les plants de lavande autour du point d'impact commencèrent à dépérir, comme ayant subi une dessiccation.
Quatre jours après l'incident, Maurice Masse s'effondra, complètement vidé de son énergie et saisi par une irrésistible envie de dormir. Selon ses proches, il dormait 12 à 15 heures par jour, et ils durent le réveiller pour le faire manger.
Maurice Masse ne revint jamais sur son témoignage, il est décédé durant l'année 2004 convaincu d'avoir été confronté à l'inconnu.